Le "restaurant " "
En 1765, un certain Boulanger, dénommé aussi Champ d’Oiseaux, ouvre une
sorte de petit cabaret dans la rue des Poulies (aujourd’hui rue du
Louvre), où il sert des “restaurants”, des bouillons à ses clients.
Le mot “restaurant” a fait fortune et depuis est employé dans de nombreux pays. À l’origine, il s’agissait d'un terme médical (un bouillon revigorant), ensuite une vente ambulante où les crieurs vantaient leurs bons " bouillons restaurants ", c’est-à-dire " bons pour la santé". Boulanger offre également des volailles bouillies au gros sel et des œufs frais. N’étant pas traiteur, il n’a pas encore le droit à cette époque de vendre ragoûts ou plats en sauce...
Le mot “restaurant” a fait fortune et depuis est employé dans de nombreux pays. À l’origine, il s’agissait d'un terme médical (un bouillon revigorant), ensuite une vente ambulante où les crieurs vantaient leurs bons " bouillons restaurants ", c’est-à-dire " bons pour la santé". Boulanger offre également des volailles bouillies au gros sel et des œufs frais. N’étant pas traiteur, il n’a pas encore le droit à cette époque de vendre ragoûts ou plats en sauce...
Jusque-là, les auberges et les tavernes proposaient plutôt un plat sur
table d'hôte, à heures fixes.
Il faudra attendre l'abolition des corporations des métiers de bouche
en 1776 pour connaître le restaurant que nous connaissons aujourd'hui
avec l'ouverture par Antoine de Beauvilliers en 1782 du premier
établissement digne de ce nom.
En 1786, les « Frères Provençaux » serviront bouillabaisse et brandade de morue aux senteurs d'ail et huile d'olive.
source : www.stanislasurbietorbi.com
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